Canton 2 : La foire aux contradictions !

Après avoir analysé la situation politique sur le canton Montpellier I, Pas de roses sans épines poursuit son décryptage en passant au canton II, aussi 16e canton de l’Hérault. Modification des compétences, redécoupage des cantons, tout est chamboulé. Pourtant les 22 et 29 mars, il faudra bien élire vos deux représentants qui siègeront parmi les 50 conseillers départementaux. Petit éclairage sur ce nouveau territoire électoral qui comprend Les Cévennes, Saint-Clément, Cité Astruc, Clémentville, Père Soulas, Saint-Priest, Hôpitaux-Facultés, le Zoo du Lunaret, le Plan des Quatre-Seigneurs, Vert-Bois et Euromédecine. Lire la suite

Élections départementales : des candidats sans budget ni compétences !

La campagne des élections départementales prend son envol dans l’Hérault à l’abri des citoyens. Difficile d’y voir clair à quinze jours du premier tour dans le contexte d’une réforme territoriale totalement inaudible pour qui ne plonge pas dans les textes officiels. Les médias en font le minimum syndical relayant la propagande insipide de candidat-e-s qui semblent, pour le coup, totalement à côté de la plaque. Ils piochent ici ou là des thèmes dans le vent démontrant qu’ils ne connaissent pas la collectivité au sein de laquelle ils prétendent représenter leurs concitoyen-ne-s. Pourtant, avec un simple ordinateur, une connexion Internet et un peu de jugeote, ils pourraient offrir une campagne digne des enjeux du département.

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Élections départementales : ne demandez pas le programme !

Les listes pour les élections départementales dans l’Hérault viennent d’être clôturées pour le premier tour du 22 mars prochain. La préfecture relève 135 binômes paritaires  dans le département, soit 270 candidats. Sur les cinq cantons de Montpellier, il y a 34 binômes (68 candidats) qui se disputent les places au Conseil départemental (ex-Conseil général). La campagne est donc lancée et reste poussive. Et à regarder de près les premiers documents de propagande, on remarque que beaucoup ne semblent même pas connaître l’institution dans laquelle ils briguent un mandat.

Si avec la réforme territoriale actuelle, les compétences n’ont pas encore été dispatchées entre métropole et département, il suffit pourtant de partir sur les grandes compétences inhérentes à l’échelon départemental. Le manque de fond politique ne va pas mobiliser en masse des citoyens déjà largement atterrés par leurs représentants. Pour cette élection, surtout, ne demandez pas le programme !

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