Sébastien Denaja, le député censeur

Jusqu’en février 2016, la France est donc en état d’urgence. Un état d’exception qui confère des pouvoirs étendus aux forces de l’ordre sous la houlette des préfets. Le pouvoir judiciaire est quant à lui réduit à sa portion congru tandis que les libertés se rabougrissent à vue d’œil. Perquisitions en pagaille, assignation à résidence, interdiction de manifestations, le pays est plongé dans un état sécuritaire sans précédent. Et cela grâce à des députés qui obéissent à l’exécutif le doigt sur la couture du pantalon. Dans l’Hérault, le député Sébastien Denaja a participé allègrement à ce déni de liberté voulant même le rétablissement de la censure. Portrait d’un député censeur. Lire la suite

Départementales : « la gauche » sans fond !

Les années passent et les élections s’enchaînent. Ainsi en va-t-il de la saine vie démocratique de notre République. Un an après les élections municipales, les citoyens vont devoir se prononcer en mars prochain pour élire leurs représentants au Conseil départemental (ex-Conseil général). La campagne se lance tranquillement. Pas de roses sans épines ! vous propose un tour d’horizon des stratégies de « la gauche » sur les cantons de l’Hérault s’appuyant en partie sur des documents internes.

Une chose est sûre : vous ne croulerez pas sous les arguments de fond politique. Les Politburo héraultais sont effectivement concentrés sur les petites combines pour décrocher des postes. Dans l’Hérault, la lutte des places a depuis longtemps remplacé la lutte des classes. Hauts les cœurs Camarades, plongez dans la tambouille locale ! Lire la suite

Flashback et mise en garde : des sénatoriales contre et sans le peuple

Au fil du temps, les élections passent. La désignation des têtes de liste, la conception du programme puis la campagne pure et dure (collage, tractages sur les marchés, etc.), toute cette logistique du quotidien qui galvanise et épuise le militant. En mars prochain auront lieu les élections départementales puis les régionales en fin d’année 2015. A Montpellier aussi, les élections passent. Mais pour que vive la démocratie, il serait bien que les pratiques ne restent pas. Analyse. Lire la suite